Just Classik Festival
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artistes 2022

Les artistes du Just Classik Festival 2022

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Sylvain Blassel
Sylvain Blassel est harpiste et chef d'orchestre. À la suite de ses études avec Fabrice Pierre, il est aussitôt engagé comme chef assistant auprès de Pierre Boulez à l'Ensemble InterContemporain, où ses rencontres avec les compositeurs majeurs de son temps lui ont été particulièrement déterminantes. À l’orchestre, il a joué sous la direction de Claudio Abbado, Sir Simon Rattle, Gustavo Dudamel, Valery Gergiev, Alan Gilbert, etc. Passionné par les instruments historiques, il se joint volontiers aux orchestres sur instruments d’époque. Outre les créations d'œuvres de nombreux compositeurs, Sylvain Blassel s’est fait une spécialité de transcrire ou adapter un répertoire très large. Partant du postulat que le piano exige souvent une dextérité beaucoup plus grande que la harpe, il a développé une technique lui permettant d’aborder les plus grands chefs d’œuvres du répertoire, dont les dernières sonates de Beethoven ou les Variations Goldberg de Bach, dont l’enregistrement en première mondiale à la harpe a été particulièrement salué par la presse. Ses programmes l’amènent à se produire à New York, Chicago, Londres, Tokyo, Singapour, Beijing, etc… Sylvain Blassel enseigne la harpe au Conservatoire Royal de La Haye aux Pays-Bas, ainsi qu’au CNSM de Lyon. Il donne régulièrement des master-class dans les grandes écoles internationales : Trinity College of London, Juilliard School New York, Toronto Royal Conservatory, Hochschule Hamburg, Prague, Madrid, Berlin, Séoul, Tokyo, Taïwan, Hong Kong, Beijing, Shanghai…


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​Théo Fouchenneret
Théo Fouchenneret remporte le premier prix du Concours international de Genève en novembre 2018 avant d’être nommé « révélation soliste instrumental » aux Victoires de la Musique Classique. La même année il remporte le 1er prix ainsi que cinq prix spéciaux au Concours international de musique de chambre de Lyon avec le Trio Messiaen. Applaudi par de grandes salles et festivals internationaux, il se produit également avec des musiciens internationalement reconnus : Victor Julien-Laferrière, François Salque, Lise Berthaud, Svetlin Roussev, Roland Pidoux… En 2018 paraît chez Mirare un disque avec le trio Messiaen et le clarinettiste Raphaël Sévère consacré au Quatuor pour la fin du temps d’Olivier Messiaen, ainsi qu’aux Court Studies from the Tempest de Thomas Adès. En mars 2020 est paru son premier disque solo chez la Dolce Volta, enregistrement consacré aux grandes sonates Waldstein et Hammerklavier de Beethoven.​ « On est frappé par une présence et un son plein et intense. Rapidement, les contrastes nous saisissent. Fouchenneret nous convie à une véritable interprétation. » - Diapason


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Jonathan Fournel
Né en 1993 à Sarrebourg, Jonathan Fournel débute ses études au Conservatoire de Sarreguemines puis au Conservatoire de Strasbourg. En 2006, il est admis à la Musikhochschule de Saarbrücken où il étudie avec Robert Leonardy; il suit dans le même temps des cours avec Gisèle Magnan. Après sept années d’étude au CNSM de Paris dans les classes de Bruno Rigutto, Brigitte Engerer, Claire Désert et Michel Dalberto, il ressort avec un Master en 2014 et un DAI deux ans plus tard. Il se perfectionne actuellement auprès de Louis Lortie et Avo Kouyoumdjian à la Chapelle Musicale Reine Élisabeth. Depuis 2013, il a remporté les deuxièmes prix au concours Pozzoli et Thomas Kutti à Istanbul, puis les premiers prix au concours Viotti de Vercelli et au concours international d’Écosse. En tant que soliste, il a participé à de nombreuses tournées en Italie et en Écosse avec l’Orchestre de la Radio Télévision de Zagreb, l’Orchestre Symphonique de Dubrovnik et le Royal Scottish National Orchestra avec qui il joue le concerto n°2 de Brahms, le concerto n°1 de Chopin et le concerto n°3 de Beethoven sous la direction de Fan Tao, Nicola Guliani, Mladen Tarbuk et Peter Oundjiann.
​En mai dernier, Jonathan a remporté le très prestigieux 1er Grand Prix International Reine Élisabeth.


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Luca Giovannini
À 22 ans, Luca est déjà lauréat de nombreux concours internationaux. Diplômé du conservatoire « Venezze »  en 2017 sous la direction de Luca Simoncini, il participe depuis à de nombreuses masterclasses et reçoit les conseils d'artistes de renom, tels que Gidon Kremer, Andràs Schiff, Lynn Harrell, David Geringas, Giovanni Sollima, Gary Hoffman, Antoinie Tamestit, Ivan Monighetti , Natalia Gutmann et Gautier Capuçon. 
Il est soutenu par la Scala de Milan et reçoit la bourse « Giorgetti » ainsi que la bourse Boris Pergamenschikow de l'Académie Kronberg, où il étudie actuellement au coté du célèbre violoncelliste suédois Frans Helmerson. 
Il s'est déjà produit en tant que soliste dans de nombreuses salles prestigieuses du monde entier, dont le Musikverein de Vienne, le Suntory Hall de Tokyo, le Carnegie Hall de New York, ou encore la Philharmonie de Berlin. Il a collaboré entre autre avec "I Virtuosi Italiani", les orchestres de Padoue et de la région de Venetie, le « Slovak Sinfonietta Žilina Orchestra » et l'Orchestre Philharmonique de Tokyo.
Il participe depuis 2021 à la Seiji Ozawa international Chamber Music Academy.
Luca joue un violoncelle d'Ansaldo Poggi de 1927 gracieusement prêté par le violoncelliste Mario Brunello.


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Nathanaël Gouin
« Nathanaël Gouin confirme le magnifique musicien qu’il est. » Marie Aude Roux Le Monde. « Un de ces artistes épatants qui nous font entendre le monde autrement » Mediapart. Paru en septembre 2020 , le deuxième disque récital de Nathanaël Gouin «Bizet sans paroles» est encensé par la critique et est récompensé d’un Diapason d’Or, alors que son album «Liszt Macabre» avait obtenu un Choc du magazine Classica. Pianiste et compositeur, il figure comme l’une des voix les plus originales de la scène musicale. Ce pianiste complet est recherché comme soliste tout comme en musique de chambre sur les scènes d’Europe comme celles d’Asie ainsi qu’aux Etats-Unis. Il s’est ainsi produit à la Philharmonie de Paris (salle Pierre Boulez), la Seine Musicale , le palais Bozar de Bruxelles, le festival de la Roque d’Anthéron et bien d’autres. Il collabore ainsi avec des orchestres tels que l’ensemble Les Siecles, le Philharmonique de Liège, le Sinfonia Varsovia, le New Japan Philharmonic etc. Il a pour partenaires réguliers de grands musiciens tels que Renaud Capucon, Augustin Dumay, Maria-Joao Pires ou encore Astrig Siranossian. Nathanael Gouin est lauréat de plusieurs prix internationaux tels que le premier prix du concours Johannes Brahms de Portschach, et est artiste-résident à la fondation Singer-Polignac.


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Paloma Kouider
La pianiste Paloma Kouider s’est formée auprès de Sergueï Markarov, Elisso Virssaladze et Avedis Kouyoumdjian. Invitée très jeune à se produire en soliste au sein de programmations prestigieuses, Paloma s’oriente dans un premier temps vers la littérature avant de se tourner vers la musique. Remarquée pour son premier disque solo consacré à Beethoven et Liszt, Révélation classique de l’Adami 2008 et lauréate de la Fondation Banque Populaire, Paloma tisse depuis la fondation du Trio Karénine en 2009 un lien particulier avec la musique de chambre. Avec ses fidèles partenaires du trio, lauréat du concours de l’ARD de Munich, elle parcourt les festivals les plus prestigieux et les grandes salles du monde : la Roque d’Anthéron, les Folles Journées de Nantes et de Tokyo, le Wigmore Hall, le Konzerthaus de Berlin, le Concertgebow d’Amsterdam, la Frick Collection de New York..., un parcours qui fait d’elle une partenaire recherchée, tant sur scène qu’au disque. Également très investie dans la création contemporaine, Paloma travaille de près avec les compositeurs Benoît Menut, Franck Krawczyk, Raphaël Sévère et Benjamin Attahir, l’interprétation d’une œuvre de ce dernier lui donnant l’occasion de recevoir le Prix André Hoffmann des Sommets musicaux de Gstaad, aux côtés de la violoncelliste Anastasia Kobekina. Attentive aux plus démunis, Paloma est l’une des fondatrices de l’association caritative « Esperanz’Arts » qui organise des manifestations artistiques pour des publics « empêchés ».


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Sylvia Huang
Appréciée pour son "vrai lyrisme et sa musicalité touchante, sa simplicité et sa sensibilité”, et livrant une “palette de couleurs très variée” (Le Soir), la violoniste belge Sylvia Huang est décrite comme une musicienne “intègre, émouvante” et au “son riche” (De Standaard). Elle est lauréate du Concours Musical International Reine Elisabeth de Belgique en 2019, où elle remporte les deux prix du public: le Prix Musiq'3 et le Canvas-Klara Prijs. Elle reçoit également le Prix Caecilia de la Jeune Musicienne de l’Année 2019 par l'Union de la Presse Musicale Belge.
Elle a fait ses débuts avec l'Orchestre du Concertgebouw d'Amsterdam en février 2021 sous la direction d'Andrew Manze dans le concerto de Mozart K.218, qu'elle a également interprété en juillet 2021 avec Iván Fischer et le RCO au Konzerthaus de Berlin lors de la visite d'état officielle du Roi et de la Reine des Pays-Bas. Elle a collaboré avec de nombreux orchestres tels que l’Orchestre National de Belgique, l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie, le Sinfonia Rotterdam, dans des salles telles que le Concertgebouw d’Amsterdam,le Palais des Beaux-Arts de Bruxelles, Flagey, le Vlaamse Opera à Gent ou encore deSingel à Anvers. On la retrouve dans divers festivals internationaux dont B-Classic Festival van Vlaanderen, les Echappées Musicales du Médoc, le Festival Musiq’3, le Collegium Vocale Crete Senesi, les Festivals de Wallonie ou encore Klara in deSingel. 
Son premier disque avec la pianiste Eliane Reyes, consacré aux compositeurs Eugène Ysaÿe et Guillaume Lekeu est paru en septembre 2021 pour le label Outhere Music-Fuga Libera, et a été très apprécié par la critique. 
Elle joue sur un Carlo Ferdinando Landolfi de 1751, prêté par la RCO Foundation.


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Christel Lee
Lauréate du premier prix du Concours international de violon Jean Sibelius 2015 à Helsinki, la violoniste canado-américaine Christel Lee est devenue la première lauréate nord-américaine en cinquante ans d'histoire. Elle a ensuite été invitée à se produire avec l'Orchestre philharmonique d'Helsinki lors de la tournée de l'orchestre à Birmingham et à Dublin pour célébrer le 150e anniversaire de la naissance de Sibelius. Son succès à Helsinki a été précédé de nombreux prix et distinctions, dont le deuxième prix et le prix du public au Concours international de l’ARD 2013 à Munich. En tant que soliste, elle s'est produite avec des orchestres tels que le Finnish Radio Symphony, le Bavarian Radio Symphony, le Korean Symphony, le KBS Symphony, le Vancouver Symphony, l'Aspen Sinfonia et le SWR-Stuttgart Radio Symphony. 
Artiste aux multiples facettes, Christel est une chambriste passionnée, collaborant avec les plus grands artistes de sa génération. Elle est régulièrement invitée des festivals européens et nord-américains, parmi lesquels les festivals de Mecklenburg-Vorpommern, Mozartfest Würzburg et Kronberg Academy. D'origine coréenne, Christel est née à Bloomington et a commencé le violon à l'âge de cinq ans à Vancouver. Elle a ensuite déménagé à New York et a été diplômée de la Juilliard School en 2011. Elle a terminé ses études à la Kronberg Academy et à la Hochschule für Musik und Theatre de Munich sous la tutelle d'Ana Chumachenco. Elle joue sur un violon de Lorenzo Storioni de 1781, qui lui est prêté par la Deutsche Stiftung Musikleben depuis 2015.


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Inès Morin
Née à Lyon en 1993, Inès Morin commence le violon dès l'âge de 4 ans. Elle se perfectionne dans les classes de Raphaël Oleg à la Hochschule de Bâle, de Nora Chastain à la Zürcher Hochschule der Künste puis d'Igor Karsko en Master de Soliste à la Hochschule de Lucerne, où elle obtient, tout comme à Zürich, son diplôme avec la plus haute distinction. Elle participe à de nombreuses masterclasses au côté de professeurs tels que Mi-Kyung Lee, Stephan Picard, Gyula Stuller, Ferenc Rados, Hagai Shaham ou le quatuor Talich. Lauréate du concours Edwin-Fischer 2019 ainsi que du concours de la Schenk-Stiftung 2020, elle se produit en tant que soliste avec l'orchestre des Festival Strings Lucerne au KKL, l'Argovia Philharmonic, les Jungen Zürcher Harmonikern et le Stadtorchester Zug. Passionnée par la musique d'ensemble, elle joue au sein de nombreux orchestres dont les orchestres symphoniques de Bâle, Saint-Gall, l'Opéra de Zürich, l'orchestre du Festival de Gstaad, le Musikkollegium Winterthur ou la Camerata Zürich. Elle se produit également régulièrement en concert avec différents ensembles de musique de chambre. Elle est membre permanent de l'orchestre de chambre de Zürich (Zürcher Kammerorchester) depuis septembre 2017 et occupe le poste de chef d'attaque des seconds violons à l'Orchestre Symphonique de Lucerne depuis 2022.


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Shuichi Okada
Né en 1995 à Bordeaux, Shuichi Okada débute l'étude du violon à l'âge de cinq ans et est admis au Conservatoire National Supérieur de Paris à l'unanimité à l’âge de quinze ans, dans la classe de Roland Daugareil. Il est lauréat de nombreux concours internationaux qui lui donnent l'opportunité de jouer en soliste avec des orchestres tels que l'Orchestre lyrique d'Avignon, l'Orchestre de la Hochschule de Weimar, l'Orchestre symphonique de Nancy, l'Orchestre de chambre Nouvelle Europe, l'Orchestre philharmonique de Baden-Baden, le Philharmonique de Vogtland, ou encore l’Orchestre de Normandie. Shuichi est régulièrement invité de festivals tels que Les vacances de Mr Haydn, le Festival de la Roque d'Anthéron, les Moments musicaux de La Baule, le Festival de Pâques de Deauville, le Festival de Giverny, le Festival Musique à Guéthary, et le Festival du Palazetto Bru Zane, La folle Journée de Nantes et de Tokyo... Il enregistre en 2017 son premier album en sonate avec le pianiste Clément Lefebvre pour le label Mirare et participe en 2018 et 2019 à l’intégrale de la musique de chambre de Johannes Brahms du label BRecord, ainsi qu’à l’enregistrement des octuors de Franz Schubert et Raphaël Merlin pour le label Alpha Classics. Shuichi est membre du trio Arnold en résidence à la fondation Singer-Polignac et membre senior de la Seiji Ozawa international Academy, il est soutenu par la Fondation Safran, la fondation Banque Populaire ainsi que la Fondation l'Or du Rhin.


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Aurélien Pascal 
Né en 1994, Aurélien Pascal est lauréat de plusieurs concours internationaux dont le Concours Emanuel Feuermann 2014, où il reçoit le Grand Prix et le Prix du public. Aurélien Pascal se produit régulièrement en soliste avec des orchestres tels que l’Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo, l’Orchestre National de Metz, l’Orchestre de Chambre d’Europe, le Munich Chamber Orchestra, le Zurich Chamber Orchestra, les orchestres symphoniques de Nuremberg et Barcelone, le Hong Kong Sinfonietta et le Taipei Symphony Orchestra, sous la direction de Sir András Schiff, Christoph Poppen, Clemens Schuldt, Okko Kamu et Lio Kuokman. En récital, on a pu l’entendre dans de nombreux festivals tels que Verbier, Colmar, Mecklenburg Vorpommern, La Folle Journée de Nantes en France et au Japon, le Festival de Radio France Montpellier Occitanie, les Rencontres Musicales d’Evian, avec des partenaires de musiques de chambre tels qu’Augustin Dumay, Pavel Kolesnikov, Alexandre Kantorow, Liya Petrova, et Sir András Schiff… Il s’est également produit à l’Auditorium du Louvre et à la Salle Gaveau à Paris, au BOZAR à Bruxelles, au Konzerthaus à Berlin, au Musiekgebouw à Amsterdam, à l’Auditorium de Barcelone, Tonhalle de Zurich. La discographie d’Aurélien Pascal comprend le concerto de Franz Danzi enregistré avec l’Orchestre de Chambre de Munich et Howard Griffiths (Sony Classical 2018). Son dernier CD All’Ungarese avec la Sonate pour violoncelle seul op. 8 de Kodály a obtenu le CHOC de Classica et le Diapason Découverte. Aurélien a étudié au CNSMDP dans la classe de Philippe Müller, a participé aux masterclasses de János Starker et s’est perfectionné auprès de Frans Helmerson et Gary Hoffman à l’Académie Kronberg en Allemagne.


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François Robin
Diplômé du CNSMD de Lyon dans la classe d’Anne Gastinel, François Robin se perfectionne par la suite à Paris aux côtés de Christophe Coin, et à Vienne où il suit l’enseignement de Valentin Erben. Sa passion pour la musique de chambre l’amène à rejoindre le quatuor Van Kuijk avec lequel il remporte le 1er prix du prestigieux Wigmore Hall String Quartet Competition en 2015. Lauréat HSBC puis BBC New Generation Artist, son activité de quartettiste lui donne l’occasion de se produire au Wigmore Hall à Londres, aux philharmonies de Berlin et Paris, Concertgebouw d’Amsterdam, Carnegie Hall à New-York, Sydney Opera House, Musikverein et Konzerthaus de Vienne tout en suivant les conseils de Günter Pichler, premier violon du quatuor A. Berg. En soliste, François joue les concertos de Haydn, Schumann, Saint-Saëns ainsi que les Variations Rococo de Tchaïkovski à la Philharmonie de Paris puis pour une tournée européenne avec l’Orchestre philharmonique de Besançon. Son approche sur instrument d’époque lui permet également de jouer les concertos de Carl Philippe Emanuel Bach aux côtés de Sigiswald Kuijken. Il enregistre des œuvres de Lucien Guérinel pour le label Integral Classics, ainsi que quatre albums dédiés aux quatuors de Mozart, Debussy, Ravel et Schubert « La jeune fille et la mort » parus chez Alpha en coproduction avec la BBC et le festival d’Aix-en-Provence. Il a enseigné la musique de chambre au CRR d’Aubervilliers et il est directeur artistique du festival Été Musical à Dinan.


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Astrig Siranossian
Premier Prix et plusieurs fois Prix Spécial du concours international K. Penderecki, Astrig Siranossian se produit en soliste avec de grands orchestres. Invitée régulièrement par Daniel Barenboim, ses partenaires sur scène ne sont pas moins que Simon Rattle, Martha Argerich, Yo-Yo Ma, Kirill Gernstein, Elena Bashkirova, Emmanuel Pahud… Régulièrement invitée sur les chaînes de télévision (TF1, France 2, France 5, CultureBox TV, BR Kultur..), ses enregistrements sont salués unanimement par la presse. En 2022, Astrig fera ses débuts avec l’Orchestre du Gewandhaus de Leipzig avec le Concerto n°2 en Mi mineur de Popper. Artiste pour le label Alpha Classics, elle grave notamment un hommage à Nadia Boulanger « Dear Mademoiselle » avec Nathanaël Gouin et Daniel Barenboïm au piano qui reçoit les critiques unanimes de la presse. Depuis 2016, elle prend la direction artistique des « Musicades », festival de sa ville natale, Romans sur Isère qui met en miroir la musique avec les arts mais aussi la gastronomie. Elle crée en 2019 la mission « Spidak-Sevane » qui vient en aide aux enfants au Liban et en Arménie à travers la musique. Diplômée à 18 ans du conservatoire national supérieur de musique et danse, elle poursuit ses études à la Haute École de Musique de Bâle où elle sort diplômée avec les honneurs. Elle joue un violoncelle de Francesco Ruggieri de 1676, généreusement prêté par la Fondation Boubo Music.


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Camille Vasseur
Née à Troyes, Camille Vasseur commence le violon à l'école de musique de St Julien les Villas. Elle est aujourd'hui violoniste de l'Orchestre National de Lyon. Après ses études à Bâle dans la classe de Raphaël Oleg et à Munich auprès de Mi-Kyung Lee, elle obtient un master d'interprétation à l'unanimité. En 2011 et 2012 Camille est violon solo de l’Orchestre Français des Jeunes. En tant que chambriste, elle s'est formée avec le Quatuor Manfred à Dijon puis à Bâle dans la classe de Walter Levin (Quatuor Lasalle) et Rainer Schmidt (Quatuor Hagen). En 2013 elle accompagne la danseuse Marie-Claude Pietragalla dans son spectacle hommage à Jean Sébastien Bach sur les trois Partitas pour violon. Elle est invitée en 2015 à se produire en concert à Houston avec le Quatuor Rolston dans l'octuor de Mendelssohn. De 2014 à 2017, elle est membre de l'académie du Gewandhausorchester de Leipzig puis du Bayerische Staatsorchester de Munich. Elle s'est produite dans les plus grandes salles telles que les Konzerthaus de Vienne et Berlin, le Lincoln Center de New York, le Suntory Hall de Tokyo, le John F.Kennedy Center de Washington ou l'Opéra de Tel Aviv.


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Manuel Vioque-Judde
Né en 1991, Manuel Vioque-Judde est reconnu comme l’un des musiciens les plus doués et les plus charismatiques de sa génération. Lauréat de nombreux concours internationaux, il est récompensé aux deux plus prestigieux, en 2014 à Los Angeles au XIVe Concours Primrose, puis en 2016 au XIIe Concours Tertis sur l’Île de Man. Régulièrement appelé à se produire en temps que soliste, il a collaboré avec le Simon Bolivar Symphony Orchestra, le Moravian Philharmonic Orchestra, le Vogtland Philharmonic Orchestra, l’Elbland Philharmonie Sachsen, le Santa Barbara Chamber Orchestra, la Camerata Nordica, l’Orchestre Français des Jeunes, ou encore avec l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie. Manuel est également un chambriste accompli, on trouve parmi ses partenaires, Augustin Dumay, Jonathan Fournel, Nathanaël Gouin, Ilya Gringolts, Gary Hoffman, Victor Julien-Laferrière, Barnabás Kelemen, Gidon Kremer, Alexandre Kantorow, Denis Pascal, Liya Petrova, Christian Tetzlaff, le trio Wanderer. Il se produit sur les plus grandes scènes internationales, au Victoria Hall de Genève, au Bozar de Bruxelles, à la Philharmonie de Paris, au Konzerthaus de Berlin, à la Folle Journée de Nantes et de Tokyo, au Festival International de la Roque d'Anthéron, au Festival de Verbier, au Seiji Ozawa Matsumoto Festival, au Festival de Pâques d'Aix en Provence, au Tanglewood Music Festival, ou encore au festival Radio France Occitanie Montpellier. Son éducation musicale commence avec l’apprentissage de l’alto mais aussi la pratique intensive du chant et du piano. Élève de Laurent Verney, il obtient à 15 ans le 1er prix à l’unanimité au Concours National des Jeunes Altistes. Il entre alors au Conservatoire de Paris et poursuit par la suite sa formation auprès des altistes, Tatjana Masurenko, Miguel Da Silva et Lawrence Power. Manuel Vioque-Judde est Lauréat de la Fondation Banque Populaire et Révélation Classique Adami 2017.


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Joséphine Olech
La Française Joséphine Olech mène une carrière bien remplie en tant que soliste, chambriste et musicienne d’orchestre. Flûte solo de l’Orchestre philharmonique de Rotterdam, elle a conforté sa place de jeune artiste éminente en remportant le premier prix du Concours international Carl-Nielsen en 2019. Joséphine Olech a été invitée à se produire en tant que soliste avec l’Orchestre philharmonique de Rotterdam, l’Orchestre philharmonique royal de Stockholm, l’Orchestre symphonique d’Odense et la Philharmonie de Magdebourg, entre autres. En France, elle a été nommée Révélation classique de l’Adami en 2018. Son dernier album, sorti en 2021 chez Orchid Classics, présente trois concertos pour flûte de Carl Nielsen, Theodoor Verhey et Jean Françaix, enregistrés avec l’Orchestre symphonique d’Odense et Anna Skryleva. La carrière de soliste de Joséphine Olech l’a menée dans des festivals dans le monde entier, tels que le Festival d’été de Copenhague (Danemark), le Festival de Mecklenbourg-Poméranie-Occidentale (Allemagne), la Folle Journée de Nantes (France), le Festival international de musique de chambre d’Ede (Pays-Bas). Soucieuse de promouvoir la musique nouvelle et d’élargir le répertoire pour flûte, Joséphine Olech a récemment créé le nouveau concerto pour flûte de Thierry Escaich, commande de l’Orchestre philharmonique de Rotterdam. Inspirée par les amitiés internationales nouées dans les orchestres de jeunes européens, Joséphine a cofondé en 2016 l’Alma Mahler Kammerorchester, qui réunit de jeunes musiciens professionnels du monde entier pour des projets mettant en scène des œuvres allant du répertoire symphonique du XIXe siècle à des œuvres de chambre originales. 


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Rafaël Cumont-Vioque
Né en 1992, Rafaël Cumont-Vioque débute le violoncelle à l'âge de 5 ans. Après des études au CRR de Paris, dans les classes de Marcel Bardon puis Matthieu Lejeune, il entre au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris en 2011 dans la classe de Jerôme Pernoo chez qui il obtient son master d’interprétation en 2016. Il remporte à l’âge de 15 ans le 2ème prix du Concours Vatelot-Rampal et le Concours International YAP au Canada qui lui permet de participer au Young Artist Program de l'Université d'Ottawa sous la direction de Pinchas Zukerman. En 2010 il est sélectionné par Peter Wispelway pour jouer le concerto d'Elgar avec l’orchestre du Festival de Beauvais puis il est lauréat du concours international Jean-Louis Rosoor en 2013. Tout au long de ses études, il s’est perfectionné au côté de maîtres tels que Gary Hoffmann, Sol Gabetta, Anner Bylsma, Arto Noras, Jorgen Jensen, Michale Tree, Pieter Wispelwey. Il a été sélectionné par de prestigieuses académies internationales notamment la Kronberg Academy et l’Académie de Villecroze et s’est produit dans des festivals tel que les Flâneries de Reims, Monsieur Haydn, la Biennale du violoncelle d’Amsterdam, Hector Berlioz, le Prieuré St Cosme ainsi que sur France Musique. Il joue un violoncelle Gand et Bernadel de 1886 grâce au très généreux soutien de la fondation Meyer, du Fonds de Tarrazi et du Legs Saint Paul dont il a bénéficié durant ses études.


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Tristan Labouret
Musicologue diplômé du CNSMD de Paris, Tristan Labouret est critique musical et rédacteur en chef du magazine en ligne Bachtrack depuis 2018. Il multiplie par ailleurs les activités mêlant recherche et transmission, collaborant avec de nombreuses institutions en tant que rédacteur, producteur radio, médiateur, conférencier ou formateur. Cherchant toujours à associer érudition et imagination, il élabore en 2020 la trame dramaturgique du projet Beethoven, si tu nous entends de La Symphonie de Poche, présenté à la Philharmonie de Paris et salué par la critique. Grand amateur de l’atmosphère si particulière des festivals, il travaille régulièrement au Printemps des Arts de Monte-Carlo, au Festival de Pâques et à l’Août musical de Deauville, au Just Classik Festival à Troyes, à Albi pour Tons Voisins. Une relation privilégiée se noue également avec l’Orchestre national d’Île-de-France pour lequel il conçoit depuis 2019 des concerts adressés aux lycéens. Ses médiations ont pris un tournant numérique avec la pandémie de Covid-19 : présentateur et auteur de nombreux programmes musicaux pour la plateforme ONDIF live !, il a co-fondé en avril 2022 la plateforme b•concerts dont il est directeur des contenus.


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Astrid Jourdain
Astrid Jourdain a été formée en Arts Plastiques et en Arts Appliqués, principalement en Design de Mode, Textile et Environnement et en Illustration, notamment aux Ateliers de Sèvres et à l’Académie des Beaux-arts de Bruxelles. Ces différents cursus lui ont permis de développer sa sensibilité graphique, son approche de la matière, de la surface et du matériau. Son travail est aujourd’hui essentiellement onirique. Elle développe principalement des créations graphiques donnant à voir des univers peuplés de créatures et de végétations fantasmagoriques, mi-réelles et mi-imaginaires, que l’on reconnaît sans pouvoir toutefois les contextualiser dans un univers tangible. L’être humain reste au centre des préoccupations de l’artiste, qui s’interroge sur le devenir de l’homme, sa place dans le monde, les codes de construction de l’identité, etc. Ce hors champ est l’élément moteur de ses recherches et créations puisque chaque suite d’images porte un regard critique sur la société et le monde qui nous entoure, sous couvert d’un monde imaginaire auquel il nous est, a priori, difficile de nous identifier. Astrid Jourdain nous fait donc voyager à travers ses dessins, afin de mieux nous confronter à notre réalité, qu’elle dévoile sous une forme à l’apparence imaginaire, mais dont l’essence est enracinée dans notre quotidien.


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Pascal Broché
Professeur d’Art Dramatique au CRD de Troyes et au CRC de Romilly-sur-Seine, Pascal Broché a joué dans près de soixante créations classiques ou contemporaines (Cie Humbert,Théâtr'âme, TPC, Cie La Strada...). Il est aussi metteur en scène de spectacles minimalistes (Les méfaits du tabac, de Tchekhov) au «péplum scénique» (Un monde nouveau, ou trois cents jeunes troyens pour un opéra de Francis Coiteux). En 2011, il fonde la Cie Les Artisans de l'Ephémère, avec laquelle il crée de nombreux spectacles, dont les derniers sont toujours en tournée (La catcheuse et le danseur, La voix humaine, Ogre, Cacatoès et Chocolat, Des tubes et des tuyaux, Le swing du poète, La guerre et ce qui s’ensuivit...). Il joue une nouvelle création pour le Département de l'Aube en 2018 : Camille Claudel, ombre et lumière.

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