“La harpe de Debussy et Ravel”
par Sylvain Blassel
Réservations : 03.25.43.56.20
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Manuel Vioque-Judde s’impose depuis quelques années comme l’un des altistes les plus captivants de la scène musicale française et internationale.
Reconnu par ses pairs dès son plus jeune âge, il est lauréat de nombreux concours internationaux, notamment le XIVe Concours Primrose à Los Angeles en 2014 et le XIIe Concours Tertis sur l’Île de Man en 2016.
Il est depuis l’invité de nombreux orchestres à travers le monde, se produisant en soliste notamment avec l’Orchestre Français des Jeunes, en Belgique avec l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie, au Venezuela avec l’Orchestre Symphonique Simon Bolivar, en République Tchèque avec le Moravian Philharmonic Orchestra, en Allemagne avec le Vogtland Philarmonic Orchestra et l’Elbland Philharmonie Sachsen, aux États-Unis avec le Santa Barbara Chamber Orchestra, en Suède avec la Camerata Nordica, et au Japon avec le Kansaï Philharmonic Orchestra.
Manuel Vioque-Judde est aussi un musicien chambriste prisé, comptant parmi ses partenaires des artistes éminents tels qu’Augustin Dumay, Jonathan Fournel, Ilya Gringolts, Gary Hoffman, Victor Julien-Laferrière, Barnabás Kelemen, Liya Petrova, Gidon Kremer, Alexandre Kantorow, Dmitri Masleev, Aurélien Pascal, Christian Tetzlaff, ou encore le trio Wanderer.
Il se produit sur les plus grandes scènes telles que le Bozar de Bruxelles, la Philharmonie de Paris, le Victoria Hall de Genève, le Seiji Ozawa Hall de Boston, le Symphony Hall d’Osaka, et participe à des événements prestigieux tels que les Folles Journées de Nantes et Tokyo, le Festival International de la Roque d’Anthéron, le Festival de Verbier, le Seiji Ozawa Matsumoto Festival, le Festival de Pâques d’Aix en Provence, le Tanglewood Music Festival, le Festival des Jeunes Solistes Européens du Venezuela…
Son parcours musical débute à Paris à l’âge de 5 ans, explorant l’alto tout en se dédiant intensivement au chant et au piano. Élève de Laurent Verney, il remporte à 15 ans le 1er prix au Concours National des Jeunes Altistes, avant d’intégrer le Conservatoire de Paris sous la tutelle de Jean Sulem. Sa quête de perfectionnement le conduit à recevoir par la suite les conseils de Tabea Zimmerman, Tatjana Masurenko, Miguel Da Silva et Lawrence Power.
Manuel est artiste associé à La Chapelle Musicale Reine Élisabeth, soliste lauréat de la Fondation Banque Populaire et Révélation Classique Adami 2017.
Depuis 2018, il est directeur artistique du Just Classik Festival à Troyes et en 2019, il fonde le trio Arnold aux côtés du violoniste Shuichi Okada et du violoncelliste Bumjun Kim. Il joue sur deux altos du luthier allemand Stephan von Baehr.
La contrebasse est un instrument qui s’envisage de bien des façons, Laurène Helstroffer-Durantel est une de ces artistes qui veut jouer avec toutes ses facettes. Musicienne inimitable, elle est aujourd’hui l’une des très rares solistes internationales de la contrebasse et se produit sur les scènes du monde entier. Musicienne complète son dernier album est l’objet d’un « flash-back » sur ses nombreuses expériences et collaborations musicales en tous genres. Troyenne d’origine, elle est de retour aux sources pour le plus grand plaisir du public du Just Classik Festival.
Né en 1995 à Bordeaux, Shuichi débute l’étude du violon à l’âge de cinq ans et est admis au Conservatoire National Supérieur de Paris à l’unanimité à l’âge de quinze ans, dans la classe de Roland Daugareil.
Il est lauréat de nombreux concours internationaux qui lui donnent l’opportunité de jouer en soliste avec des orchestres tels que l’Orchestre lyrique d’Avignon, l’Orchestre de la Hochschule de Weimar, l’Orchestre symphonique de Nancy, l’Orchestre de chambre Nouvelle Europe, l’Orchestre philharmonique de Baden-Baden, le Philharmonique de Vogtland, ou encore l’Orchestre de Normandie.
Shuichi est régulièrement invité de festivals tels que Les vacances de Mr Haydn, le Festival de la Roque d’Anthéron, les Moments musicaux de La Baule, le Festival de Pâques de Deauville, le Festival de Giverny, le Festival Musique à Guéthary, et le Festival du Palazetto Bru Zane, La folle Journée de Nante et de Tokyo…
Il enregistre en 2017 son premier album en sonate avec le pianiste Clément Lefebvre pour le label Mirare et participe en 2018 et 2019 à l’intégral de la musique de chambre de Johannes Brahms du label BRecord, ainsi qu’à l’enregistrement des octuors de Franz Schubert et Raphael Merlin pour le label Alpha Classics.
Shuichi est membre du trio Arnold en résidence à la fondation Singer-Polignac et membre senior de la Seiji Ozawa international Academy, il est soutenu par la Fondation Safran ainsi que la Fondation l’Or du Rhin.
Depuis 2019 Shuichi est artiste en résidence à la Chapelle Musicale Reine Elisabeth.
Nathanaël Gouin s’impose comme « un très grand talent du piano Français » (L’humanité), loué pour « la merveilleuse invention de ses sonorités » (Classica) et ses « interprétations d’une grande noblesse »(Diapason). Paru en septembre 2020, son deuxième disque récital « Bizet sans Paroles » (Mirare) est encensé par la critique et se voit récompensé d’un Diapason d’or alors que le Monde y voit « la confirmation d’un magnifique musicien » et « une indéniable réussite ».
Le premier album de Nathanaël Gouin, Liszt Macabre, paru en 2017 avait déjà suscité des réactions enthousiastes des critiques. Pour Diapason, « Liszt Macabre se signale autant par la pertinence du programme que la perfection de la réalisation » alors que, selon Classica (qui lui décerne un Choc), « ce funèbre registre lui permet d’exprimer tout son talent, lumineux ! ». Son nouvel Album intitulé Caprices (Mirare) reçoit également le meilleur accueil en 2023 dont on loue « la subtilité du son » (Classica).
Lors de sa résidence à la Chapelle Musicale Reine Elizabeth de Belgique, il reçoit le soutien Maria João Pires, qui le présente au public dans le cadre du projet Partitura, concept réunissant différentes générations de musiciens dans le partage de la scène, donnant lieu à d’importantes tournées en Europe et au Japon.
Nathanaël Gouin est devenu un soliste recherché, se produisant en Europe, Asie, ou encore aux États-Unis. Il est invité dans des salles prestigieuses telles que la grande Salle Pierre Boulez de la Philharmonie de Paris et la Cité de la musique à Paris, La Seine Musicale à Boulogne-Billancourt, la Salle Rameau à Lyon, Bozar et la Salle Flagey à Bruxelles, sans oublier des festivals tels que ceux de La Roque d’Anthéron, de Radio France Montpellier, ou encore Les Flâneries musicales de Reims, Piano aux Jacobins à Toulouse, Les Folles Journées de Nantes Tokyo Varsovie ou Ekaterinbourg, ainsi que la Salle Bourgie de Montréal.
Nathanaël Gouin est un soliste recherché, qui se produit régulièrement en concerto avec orchestre tels que le Philharmonique de Liège, l’ensemble Les Siècles, le New Japan Philharmonic, l’Orchestre National d’Île-de-France, le Brussels Philharmonic, le Sinfonia Varsovia, sous la direction de chefs tels que Karina Canellakis, Christopher Warren-Green, Augustin Dumay ou encore Mathieu Herzog. Il se produit par ailleurs sur tous les continents est invité dans des salles prestigieuses telles que la grande Salle Pierre Boulez de la Philharmonie de Paris et la Cité de la musique à Paris, La Seine Musicale à Boulogne-Billancourt, la Salle Rameau à Lyon, Bozar et la Salle Flagey à Bruxelles, sans oublier des festivals tels que ceux de La Roque d’Anthéron, de Radio France Montpellier, ou encore Les Flâneries musicales de Reims, Piano aux Jacobins à Toulouse, Les Folles Journées de Nantes Tokyo Varsovie ou Ekaterinbourg, ainsi que la Salle Bourgie de Montréal.
C’est en 2016 que paraît l’enregistrement du Concerto pour piano et orchestre d’Edouard Lalo avec le Philharmonique de Liège, disque qui reçoit les meilleures critiques. La musique de chambre est évidemment très présente dans sa vie artistique et il est le partenaire régulier de grands interprètes tels que Renaud Capucon, Augustin Dumay, Astrig Siranossian ou Raphael Sévère. Le disque « Dear Mademoiselle » autour des élèves de Nadia Boulanger conçu avec la violoncelliste Astrig Siranossian et dans lequel Nathanaël Gouin signe les transcriptions, a recu également les plus belles éloges.
Formé au Conservatoire de Toulouse et de Paris, à la Juilliard School de New York, mais également aux Hochschulen für Musik de Fribourg-en-Brisgau et de Munich, ainsi que quatres années de résidence à la Chapelle Reine Elisabeth. La grande pianiste Portuguaise Maria João Pires le découvre en 2014 et lui offre un regard international dans le cadre du projet Partitura. Il a également reçu les conseils de grands musiciens tels que Jean-Claude Pennetier, Avedis Kouyoumdian, Denis Pascal, Rena Shereshevskaya, Michel Dalberto, Louis Lortie ou encore Dimitri Bashkirov. Lauréat de nombreux concours internationaux, tel que le Concours Johannes Brahms à Pörtschach en Autriche (Premier Prix), le Concours de duos de Suède (Premier Prix), ou encore le Concours de Musique de chambre de Lyon, il est de plus lauréat de la Fondation d’entreprise Banque Populaire, de la Fondation Meyer, et est artiste-résident à la Fondation Singer-Polignac.
Nommée “Révélation Soliste instrumental” lors des Victoires de la Musique 2022, Manon Galy est née à Toulouse et commence le violon à l’âge de 7 ans.
Ses études la mèneront du CRR de Toulouse à celui de Paris, puis du CNSMD de Paris à la Hochschule de Munich chez Julia Fischer en passant par l’académie Philippe Jaroussky ou à la Chapelle Musicale Reine Elisabeth de Waterloo où elle est actuellement en résidence avec le trio Zeliha.
Manon est lauréate de nombreux concours internationaux comme le Concours International de Musique de Chambre de Lyon en 2021 lors duquel elle remporte le 1er prix ainsi que tous les prix spéciaux en sonate avec Jorge Gonzalez-Buajasan, le Concours International Jascha Heifetz de Vilnius (3eme prix et prix du public), Premio Trio di Trieste avec le trio Zeliha (2ème prix) ou bien les concours Ginette Neveu, Postacchini, Marie Cantagrill.
Elle est également lauréate des fondations Banque Populaire et Safran, ainsi que de l’AMOPA et de la fondation Charles Oulmont.
En 2022-2023, Manon fait partie de l’«Euroradio Top Young Performers Series » aux côtés d’artistes tels que Maria Dueñas, Jonathan Fournel, Maria Ioudenitch ou Zlatomir Fung.
Manon se produit régulièrement en soliste avec différents orchestres internationaux ; les orchestres de chambre de Vienne, Salzburg, Lausanne, Toulouse ou Nouvelle Aquitaine, l’Orchestre National du Capitole de Toulouse, l’Orchestre National des Pays de la Loire, l’orchestre Philharmonique de Monte-Carlo, le Lithuanian National Symphony orchestra, le Brasov Philharmonic orchestra… Elle collabore ainsi avec de grands chefs comme Renaud Capuçon, Sacha Goetzel, Aziz Shokhakimov, Victorien Vanoosten, Gabor Takáks-Nagy, Bertrand De Billy, David Molard-Soriano, Simone Menezes entre autres.
En France et dans le monde, elle est l’invitée régulière de grands festivals : le Festival International de Piano de la Roque d’Anthéron, les festivals de Pâques d’Aix-en-Provence, Deauville, Colmar, les Rencontres Musicales d’Evian, le festival de la Chaise-Dieu, Al-Bustan Festival (Liban), la Folle Journée de Nantes et de Tokyo (Japon)… Et se produit ainsi dans des salles mythiques comme la Philharmonie de Paris, le Konzerthaus de Vienne, la Seine Musicale, le Vilnius Philharmonic, le RHOM Theatre Kyoto entre autres.
Au détour de ces concerts, Manon a la chance de partager la scène avec de nombreux artistes tels que Renaud Capuçon, Corina Belcea, les quatuors Modigliani et Hermès, François Salque, Marie Chilemme, Patrick Messina, Marie-Joseph Judde, Marc Coppey, le trio Arnold ou Aurélien Pascal.
Chambriste dans l’âme, Manon Galy fonde en 2018 le Trio Zeliha avec Jorge Gonzalez-Buajasan et Maxime Quennesson. Leur premier disque sorti en 2020 chez le label Mirare est encensé par la critique (5 diapason, 5 étoiles de Classica, Editor’s choice chez Gramophone magazine…) tout comme leur dernier disque, sorti en mai 2024, également auréolé de 5 étoiles Classica, 4T Télérama et “Choix de Laure Mézan” dans le magazine Pianiste.
“Nuits Parisiennes”, disque paru en février 2023 chez le label Aparté et né du duo formé avec le pianiste Jorge Gonzalez-Buajasan, remporte un Diapason d’Or de l’année, 5 étoiles de Classica ainsi que 4T Télérama.
Manon fait également partie de l’ensemble K, ensemble à géométrie variable fondé par la cheffe brésilienne Simone Menezes.
Manon a intégré, en soliste et avec le trio Zeliha, la société de production “Beau Soir productions”, dirigée par Renaud Capuçon.
Lauréate du premier prix du Concours international de violon Jean Sibelius en 2015 à Helsinki, la violoniste canado-américaine Christel Lee est devenue la première Nord-Américaine à remporter ce concours en cinquante ans d’existence. En décembre 2015, à la suite de cette victoire, elle a été invitée à se produire avec le Helsinki Philharmonic Orchestra et son chef John Storgårds, lors d’une tournée de l’orchestre à Birmingham et Dublin, célébrant le 150e anniversaire de la naissance de Sibelius. Ce succès à Helsinki a été précédé de nombreuses distinctions, dont le deuxième prix et le prix du public au Concours international de l’ARD à Munich en 2013. Ses prestations ont été saluées par la critique pour leur intensité, leur précision technique et leur profondeur émotionnelle.
En tant que soliste, Christel Lee s’est produite avec de nombreux orchestres prestigieux, notamment le Finnish Radio Symphony, le Bavarian Radio Symphony, le Korean Symphony, le KBS Symphony, le Vancouver Symphony, le Tokyo Philharmonic et le SWR Stuttgart Radio Symphony. Artiste aux multiples facettes, elle est également passionnée de musique de chambre et collabore avec les plus grands musiciens de sa génération. Elle est régulièrement invitée à des festivals en Europe, en Asie et en Amérique du Nord. Parmi ses projets récents, on note la création mondiale du double concerto pour violon et violoncelle du compositeur finlandais Kalevi Aho, écrit pour elle et le violoncelliste Jonathan Roozeman.
D’origine coréenne, Christel Lee est née à Bloomington et a commencé le violon à l’âge de cinq ans à Vancouver, au Canada. Elle a ensuite déménagé à New York, où elle a fréquenté la Professional Children’s School, puis a été diplômée de la Juilliard School en 2011. Elle a terminé ses études à la Kronberg Academy et à la Hochschule für Musik und Theater de Munich, auprès de Ana Chumachenco.
Parallèlement à sa carrière d’interprète, Christel Lee est fortement engagée dans l’enseignement et les actions de médiation. Depuis 2024, elle est professeure de violon à la Hochschule für Musik de Karlsruhe. Elle joue sur un violon de Carlo Ferdinando Landolfi datant de 1770, généreusement mis à sa disposition par une collection privée.
Révélation soliste instrumental aux Victoires de la Musique Classique 2023, Aurélien Pascal est né en 1994. Il étudie avec Philippe Muller au Conservatoire national supérieur de Paris, avant de se perfectionner avec Franz Helmerson à l’académie Kronberg et de participer aux masterclasses de Janos Starker, Gary Hoffman et Gautier Capuçon. Également lauréat des concours internationaux Navarra 2011, Paulo 2013, Reine-Elisabeth 2017, il remporte le premier prix et le prix du public au concours Feuermann à la philharmonie de Berlin en 2014.
En tant que soliste, il est invité par de nombreuses phalanges internationales telles l’Orchestre de Paris, les orchestres philharmoniques de Monte-Carlo, Helsinki, Hangzhou ; les orchestres symphoniques de Barcelone, Taipei, Hiroshima, Chypre et Tchaïkovski de la Radio de Moscou ; les orchestres de chambre de Cologne, Zürich, Potsdam, de Lituanie et du Luxembourg ; l’orchestre de la radio de la Sarre, les Norddeutsche Philharmonic, Chamber Orchestra of Europe, Elbipolis Barockorchester Hamburg ou Hong Kong Sinfonietta; sous la baguette de Christoph Poppen, András Schiff, Vladimir Fedoseyev, Okko Kamu, Lawrence Foster, Stanislav Kochanovsky, Clemens Schuldt, Corinna Niemeyer, Gilbert Varga, Emil Tabakov ou Marcus Bosch. Chambriste recherché, il partage la scène de nombreux musiciens tels Alexandre Kantorow, Liya Petrova, Renaud Capuçon, András Schiff, Augustin Dumay, Tabea Zimmerman, Pavel Kolesnikov, Clara Jumi-Kang, Emmanuel Pahud, et des ensembles comme le quatuor Modigliani, Hermes ou le trio Arnold.
Ces collaborations l’amènent à se produire régulièrement aux festivals de La Roque d’Anthéron, la Chaise-Dieu, Pâques d’Aix-en-Provence, Bonn Beethovenfest, La Folle Journée de Nantes/Tokyo/Varsovie, Angers Pianopolis, du Festival Internacional de Música de Marvão, des rencontres musicales de Nîmes et de Calenzana ou du Festspiele de Mecklenburg-Vorpommern (où il se voit attribué le prix du public lors de sa première venue en 2015).
En 2016, il enregistre, chez Sony Classical, le Concerto pour violoncelle de Franz Danzi avec l’orchestre de chambre de Münich, direction Howard Griffiths, qui séduit la critique. Pizzicato trouve son jeu d’un “naturel merveilleux” et son interprétation “souveraine, et parfaite sur le plan musical et technique.” The Strad remarque aussi sa “virtuosité sans pareille et sa musicalité intuitive”. Chez La Música, sa Sonate pour violoncelle seul de Zoltán Kodály, obtient en 2019 un Choc Classica et un Diapason découverte. Il a également enregistré Brahms, Schubert, Ravel, Nino Rota, Enesco, avec Augustin Dumay, Henri Demarquette, Eric Le Sage, Paloma Kouider, Svetlin Roussev, Paul Meyer, pour divers labels comme Onyx ou Alpha.
Aurélien Pascal est un lauréat de la fondation banque populaire, des révélations Adami 2014 et a bénéficié du soutien de la fondation d’entreprise Safran et Colas. Il joue un violoncelle français Adolphe Gand de 1850.
Musicologue diplômé du CNSMD de Paris, Tristan Labouret est critique musical et rédacteur en chef du magazine en ligne Bachtrack depuis 2018. Il multiplie par ailleurs les activités mêlant recherche et transmission, collaborant avec de nombreuses institutions en tant que rédacteur, producteur radio, médiateur, conférencier ou formateur. Cherchant toujours à associer érudition et imagination, il élabore en 2020 la trame dramaturgique du projet Beethoven, si tu nous entends de La Symphonie de Poche, présenté à la Philharmonie de Paris et salué par la critique. Grand amateur de l’atmosphère si particulière des festivals, il travaille régulièrement au Printemps des Arts de Monte-Carlo, au Festival de Pâques et à l’Août musical de Deauville, au Just Classik Festival à Troyes, à Albi pour Tons Voisins. Une relation privilégiée se noue également avec l’Orchestre national d’Île-de-France pour lequel il conçoit depuis 2019 des concerts adressés aux lycéens. Ses médiations ont pris un tournant numérique avec la pandémie de Covid-19 : présentateur et auteur de nombreux programmes musicaux pour la plateforme ONDIF live !, il a co-fondé en avril 2022 la plateforme b•concerts dont il est directeur des contenus.
Astrid Jourdain a été formée en Arts Plastiques et en Arts Appliqués, principalement en Design de Mode, Textile et Environnement et en Illustration, notamment aux Ateliers de Sèvres et à l’Académie des Beaux-arts de Bruxelles. Ces différents cursus lui ont permis de développer sa sensibilité graphique, son approche de la matière, de la surface et du matériau. Son travail est aujourd’hui essentiellement onirique. Elle développe principalement des créations graphiques donnant à voir des univers peuplés de créatures et de végétations fantasmagoriques, mi-réelles et mi-imaginaires, que l’on reconnaît sans pouvoir toutefois les contextualiser dans un univers tangible. L’être humain reste au centre des préoccupations de l’artiste, qui s’interroge sur le devenir de l’homme, sa place dans le monde, les codes de construction de l’identité, etc. Ce hors champ est l’élément moteur de ses recherches et créations puisque chaque suite d’images porte un regard critique sur la société et le monde qui nous entoure, sous couvert d’un monde imaginaire auquel il nous est, a priori, difficile de nous identifier. Astrid Jourdain nous fait donc voyager à travers ses dessins, afin de mieux nous confronter à notre réalité, qu’elle dévoile sous une forme à l’apparence imaginaire, mais dont l’essence est enracinée dans notre quotidien.
Née Troyes, Camille Vasseur commence le violon à l’école de musique de St Julien les Villas. Aujourd’hui violoniste à l’Orchestre National de Lyon, elle obtient un master d’interprétation à Bâle et Munich auprès de Raphaël Oleg et Mi-Kyung Lee. Violon solo de l’Orchestre Français des Jeunes en 2011-2012, elle se forme en musique de chambre avec le Quatuor Manfred, Walter Levin et Rainer Schmidt. En 2013, elle accompagne Marie-Claude Pietragalla dans spectacle hommage à Bach. Elle a joué dans des salles prestigieuses comme le Lincoln Center. New York ou le Suntory Hall de Tokyo.